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JOFFRE : ROGER FRAENKEL

L'ANE QUI COMMANDAIT DES LIONS (2004)

et

JOFFRE, l'IMPOSTEUR (2014)

 

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" C'est un paradoxe, mais qui n'est qu'apparent : il sera donné au chef le plus incapable d'être le plus autoritaire. Ce qui est tout à fait logique quand on pense que s'il est facile de prescrire à une communauté des mesures salutaires, il faut redoubler d'autorité pour imposer des solutions stupides. " Roger Fraenkel.

 Roger Fraenkel : Joffre L'Imposteur (Editions Jourdan, 2014)

 Pour être édifié sur Joffre lire : La Bataille de la Marne par le Général Gallieni et Carnets secrets d'Abel Ferry. Ces témoignages, plus probants que la bouillie à cochons déversée par certains historiens "officiels" sont absolument accablants et sans appel.

  Edité en Belgique, pays libre !  Editions Jourdan, Bruxelles - Paris http://www.editionsjourdan.com (Rappelons que le film de Stanley Kubrick, Les sentiers de la gloire, - les fusillés pour l'exemple - fut longtemps interdit en France - pays de censure !)

Roger Fraenkel, "Chercheur indépendant", nous dit qu'il a étudié durant quinze ans les cinq années, 1911-1916. Ce qui est certain, c'est qu'il n'a pas ménagé sa peine, qu'il est remonté aux sources, qu'il n'a rien négligé de la "mémoire officielle" et hagiographique en tirant même des preuves contre la falsification. Il ne s'en est pas tenu là, témoignages, journaux, revues, tout ce qui peut apporter un éclairage sur ces événements lui est passé sous les yeux, a été analysé. Ni Joffre, ni Poincaré, ni Briand et Millerand, ni Messimy, ne s'en sortent sans dommages et je ne parle pas des "jeunes turcs" dont peu d'historiens peuvent aujourd'hui nier le rôle catastrophique qui fut le leur en ce début de guerre. Quand Roger Fraenkel écrit : "... nul n'a le droit d'ignorer ou de nier cette conspiration officielle qu'est la fabrication du mythe Joffre grand capitaine conçue pour masquer la terrible incurie des gouvernants comme celle du despote militaire des années 1914-1916 de la Grande guerre." p 405 force est de le suivre comme on a déjà suivi Abel Ferry ou Fernand Engerand, lectures décisives et accablantes que je partage avec lui. Il ne manque pas de falsifications dans l'histoire de France du calamiteux roi Soleil qui laissa la France exsangue au despote guerrier, Bonaparte, qui en ruina la démographie, mais aucune ne repose sur autant de mensonges, de morts, de médiocrité. Pas l'ombre d'une action glorieuse, d'un trait de génie chez ces gens qui livrèrent les soldats français aux mitrailleuses et aux canons allemands sans la moindre préparation sérieuse et en dehors de toute stratégie sensée. Roger Fraenkel, dans son ouvrage, démonte pièce par pièce l'imposture et, à partir des comportements, des témoignages, des actions, des archives militaires ou privées, nous donne une vision cohérente de l'action des assassins de 1914-1916. A ce jour, je n'ai pas eu connaissance d'une analyse qui permette de mieux rendre compte des actes apparemment incohérent de l'Etat-major et de ses protecteurs ou victimes politiques. Il n'y a pas dans ce livre l'ombre d'un antimilitarisme, bien au contraire, de grandes figures militaires y apparaissent, les Lanrezac, de Castelnau, Gallieni, et d'autres. L'auteur réhabilite de nombreuses victimes de la marionnette Joffre et de ceux qui en tiraient les ficelles. D'autres avaient avant lui relevé et dénoncé certaines impostures et pas des moindres parmi les acteurs de ce grand conflit, mais personne n'avait pris le recul nécessaire à une analyse globale. De la bataille des frontières, perdue dans le sang de nos poilus, à la Marne en passant par la Somme jusqu'au Chemin des Dames, Roger Fraenkel suit pas à pas les médiocres falsificateurs et fossoyeurs, met en valeur ceux qui réagissent et sauvent la situation, dit comment la bande de malfaiteurs s'approprie les victoires des autres et se débarrasse de ses propres défaites. Magouilles, falsifications, intoxication, sur arrière fond de massacres inutiles, criminels. La saignée de 1914-1916, laissera la France vaincue, un vainqueur qui, 1940 le prouvera, aura perdu la confiance et la volonté de survivre et qui, clin d'œil monstrueux, verra les armées françaises conduites à la débâcle, à la plus grande et la plus honteuse défaite jamais connue, par ... Gamelin, ex-âme damnée de Joffre !

Il y a dans ce livre un travail minutieux, des liens entre les documents et témoignages qui permettent de démonter les mécanismes de la falsification et, déjà, de trouver les points, nombreux et importants, où elle agit. Au cours de ces 400 pages, nous suivons la baudruche Joffre, silencieuse et tyrannique, soumise à son entourage parce que incapable de décider elle même, de juger de la situation que, le plus souvent, elle n'appréhende même pas. L'Etat-major, un rassemblement d'employés de bureaux intrigants, arrogants, souvent médiocres. Nous suivons ces foudres de l'offensive avec le sang des autres tout au long d'une inutile reculade qui suit les assauts imbéciles et meurtriers. La Marne, l'Yonne, pourquoi pas les Pyrénées ? Si Gallieni n'avait pas pris la responsabilité de l'offensive victorieuse - ce n'était pas évident, surtout avec les moyens dont il disposait - qui sait où se seraient arrêtés ces braves gens qui siégeaient loin du front. Ils perdent la bataille de la Marne en transformant une victoire en simple succès ne sachant pas l'exploiter en profitant des erreurs de l'adversaire - à ce stade pas toujours beaucoup mieux inspiré qu'eux. Je paraphraserais Roger Fraenkel qui nous dit que des 270 généraux que Joffre a destitués, il en avait nommés les deux tiers. Il a donc forcément été incompétent soit quand il les a nommés, soit quand il les a destitués ! Eh bien, soit l'hypothèse de Roger Fraenkel qui donne à l'action de l'État-major une cohérence, est fausse et il n'y a pas "complot", mais dans ce cas, le même État-major était encore plus nul que l'auteur nous le montre puisque sans ligne de force menant son action, soit elle est juste et alors nous sommes en face du plus vaste et médiocre complot français. Dans les deux cas le nombre de morts inutiles pour des actions qui mènent d'échecs en échecs et qui nous auraient amenées à la défaite sans les interventions "providentielles" de quelques hommes compétents en dehors de ceux qui dirigeaient, restent le fruit d'un État-major effrayant regroupé autour d'un incapable seulement bon à tromper ceux à qui il devraient rendre des comptes qui, lâches et timorés, voués à des ambitions mesquines, sont très largement en-dessous de leur rôle.

Je ne saurais trop recommander la lecture de ce livre absolument indispensable à une époque de bourrage de crâne total autant concernant le passé que le présent, quand Pierre Miquel par exemple écrit l'histoire d'après les Mémoires de ... Joffre ! Les médiocres, aujourd'hui comme hier nous gouvernent. Aujourd'hui comme hier ils nous mènent à la ruine sous les cris admiratifs des thuriféraires stipendiés. Aujourd'hui comme hier ils rejettent sur d'autres leurs échecs et le résultat de leur immobilisme, aujourd'hui comme hier ils n'ont souci que de leur misérable carrière. Que ces gens soient de droite ou de gauche, nous les connaissons, mais pas plus que de Joffre, Poincaré et consorts en leur temps, nous n'avons le courage de les renvoyer aux auges à cochons dont ils n'auraient jamais dus sortir.

Commémorez le centenaire de ce grand crime contre l'humanité que fut cette guerre amenée et menée par des incapables en lisant ce livre qui autant qu'une condamnation des fausses gloires est une reconnaissance des vrais héros - les poilus - et de leurs vrais chefs, ceux qui ont sauvé le pays et ont souvent été victimes des premiers. Demandez que soit reconnu officiellement l'incompétence criminelle de ce salaud : Joffre, de son entourage et des politiciens incapables. C'est peut-être en faisant le ménage dans le passé que nous pourrons trouver le courage de le faire au présent !

 Roger Fraenkel : JOFFRE, L'ANE QUI COMMANDAIT DES LIONS Editions Italiques - 2004 (editions.italiques@wanadoo.fr)

Voilà enfin un livre d'histoire sur cette guerre de 1914-1918, qui aura été, outre la mort d'une Europe impériale, la seconde grande saignée française. Nous devions la première, celle qui mit définitivement à mal la supériorité française sur l'Europe, à l'illustre Buonaparte, général félon qui prit le pouvoir après un coup d'état dans lequel il donna toute la mesure de sa couardise ( ce que quelques biographes ont appelé pudiquement " une certaine timidité physique " ), encore celui là succédait-il à la révolution dont il conservait de nombreux acquis, avec toutes les tares, qui s'y attachaient. Ici, on nous parle de Joffre, polytechnicien, maréchal de France, académicien, l'image même de la France revancharde, on pourrait dire vacharde et incompétente. Pour ceux qui attendaient un tel livre de Pierre Miquel par exemple, dommage, trop tard, de toutes façons, il ne l'aurait pas écrit ce Monsieur, compiler de la littérature, c'est une chose, faire la preuve de ... en est une autre, un travail d'historien en somme !

Je ne connais pas Roger Fraenkel et n'ai eu connaissance de son livre que par un message qu'il m'a adressé concernant ma  page Lanrezac. Si je ne me trompe pas, ce livre est de ceux qu'on ne trouve pas facilement en librairie, dommage, car il est digne de retenir l'attention à plus d'un titre.

D'abord, Monsieur Fraenkel sait que l'histoire est réécrite à chaque génération ou presque, à l'usage des vivants et de ceux parmi eux qui ont intérêt à la faire parler, croyez moi, ils sont nombreux, nous en sommes peut-être sans le savoir. J'ai toujours pensé que le livre d'histoire le plus intéressant et le plus révélateur pour un français serait l'histoire de l'histoire de France et je ne suis pas le premier à le penser.

 

C'est peut-être de cet aspect très relatif de l'histoire, que Roger Fraenkel tire son style qui n'est pas celui des historiens qui posent à l'historien. Le livre est écrit dans un style très direct, l'auteur nous y parle parfois - quoi de plus naturel après tout, un livre n'est-ce pas un auteur qui parle à ses lecteurs ? - comme si nous étions auprès de lui pour marquer, par exemple, une attitude, une raison, plus ou moins cachée. Disons-le, nul n'est parfait, l'auteur aime Céline et cela se reconnaît dans son style, mais ce style, ici, est de mise, sert admirablement le sujet et convient au pamphlet, car c'en est un, destiné à déboulonner cette baudruche criminelle : Joffre. Ce ton n'empêche pas l'auteur de s'être sérieusement, très sérieusement même, documenté. Pas documenté à la façon des historiens professionnels qui se gavent d'archives officielles, car il sait et nous le dit que les textes officiels sont souvent tronqués. On le sait depuis longtemps, ceux-là mêmes qui étaient chargés de la conservation ou du traitement de ces textes, nous avaient prévenu, mais la plupart font toujours mine de l'ignorer : l'Etat-Major durant la guerre de 14-18 a truqué les documents pour cacher ses erreurs et s'attribuer des succès dans lesquels il n'était pour rien, voire qu'il avait tout fait, par sottise, pour contrecarrer.

Roger Fraenkel s'est donc attaché à Joffre, cette sinistre figure de l'incompétence, devenue le symbole de l'imposture, une imposture qui dure puisqu'il se trouve encore aujourd'hui, des prétendus " historiens ", grand public, pour, quatre-vingt dix ans après le début catastrophique de cette guerre nous seriner encore la pire et la plus plate des fables : Joffre, sauveur de la France.

Je ne vais pas résumer ce livre mais il y a là un vrai travail sérieux, nécessaire, qui recadre et situe bien les choses.

Roger Fraenkel nous dit que son but est de " casser menu et réduire en poussière la statue d'un maréchal de France, vampire enflé d'une gloire usurpée et imposteur consacré. " J'espère sincèrement que son livre fera avancer un peu dans cette voie car, faisant partie de ces  antimilitaristes qui ne sont pas naïfs, je pense que quitte à avoir une armée, ce qui semble encore assez nécessaire, mieux vaut en avoir une bonne encadrée par des généraux compétents. L'armée devient meilleure quand elle a sa tête des gens qui jugent bien des situations et pensent que la vie des hommes qu'ils commandent n'est pas de la menue monnaie à jeter en pâture à n'importe qui ! Le livre de Roger Fraenkel porte une bande imprimée sur la couverture : Eté 1914 : 300 000 morts en 3 semaines ! Combien il a raison : ces 300 000 morts appellent bien un minimum d'honnêteté et que leur assassin soit appelé par son nom ! Non seulement Joffre n'a pas gagné la bataille de la Marne qui n'aurait jamais dû avoir lieu, mais ces 300 000 morts inutiles, cette guerre qui s'est jouée à l'usure - l'usure des stocks d'hommes, hélas - aurait bien été perdue par lui, au-delà de sa manœuvre catastrophique d'entrée en guerre, du seul fait de ce désavantage décisif, 300000 morts, sans l'entrée en guerre des Américains.

IL FAUT LIRE CES LIVRES si l'on veut rendre à ceux qui sont morts de la connerie médiocre des chefs, celle-là même qui s'étale aujourd'hui à la tête de nombreuses grandes entreprises, la justice dont il est souvent question : ils sont morts de la plus plate et la plus bête médiocrité et imposture que l'on puisse imaginer : celle des carriéristes appliqués et sans scrupules dont la seule anticipation est la mise en place des procédures de rejet sur les autres des catastrophes qu'ils provoquent. Avec Joffre, incapable, arrivé à la tête d'un immense organisme, parce que cela " arrangeait " ses commanditaires, comme toujours, c'est en sang que fut payée la facture de l'incompétence et quand je regarde et lis les centaines de cartes postales écrites par des poilus, récupérées dans les boîtes à chaussures des marchands après que des gens sans mémoire les aient bradées, je ne peux pas m'empêcher de penser : celui-là est peut être mort, tué par Joffre, Berthelot, Gamelin, Nivelles, Mangin, ou un quelconque autre de ces assassins galonnés, décorés et souvent honorés.

Encore une chose, je faisais partie de ces quelques uns qui, parce qu'ils n'ont pas lu le plan XVII, parce qu'ils ne sont pas descendus assez dans le détail des événements, parce qu'ils n'ont pas eu entre les mains des documents que Monsieur Fraenkel a lu comme il le fallait, avec la loupe d'un policier qui enquête - cette comparaison ne lui plaira peut-être pas - je pensais tout bonnement que Joffre avait ignoré ce que même des civils comme Jaurès avaient prévu, que tout l'Etat Major et les membres du gouvernement savaient : le plan de guerre allemand, l'invasion par la Belgique. Je me trompais et Roger Fraenkel démontre très bien une réalité que je laisse à découvrir par ses lecteurs, qui est assez stupéfiante, et cependant certaine car seule à lever les invraisemblances des autres hypothèses. Ils découvriront en même temps toute l'horreur de ce plan criminel, véritable arme tournée sur les soldats français et qui a, hélas, fonctionnée. C'est aussi pour ces raisons qu'il faut lire ce livre démystificateur.

Messagerie : bourgeois.andre@9online.fr ( Français seulement, les pièces jointes ne sont jamais ouvertes. )

Joffre, cet emplâtre mortel, fut élu à l'Académie française. Je ne peux pas m'empêcher de citer ce trait que le rédacteur malicieux de la vénérable institution a cru devoir ajouter au panégyrique habituel, sur le site de l'Académie : " Dans La Vieille Dame du quai Conti, le duc de Castries rapporte au sujet de Joffre et de son attitude plutôt passive lors des séances du Dictionnaire l’anecdote suivante. Alors qu’on définissait le mot « mitrailleuse », le maréchal fut tiré de son somme et prié d’apporter ses lumières : « C’est une sorte de fusil qui fait pan, pan, pan », se borna-t-il à dire, et il referma les paupières. " On ne peut mieux dire que l'on a affaire à un parfait crétin !
 

 

Roger Fraenkel n'est pas le seul à voir en Joffre l'incapable meurtrier, l'arriviste incompétent qu'il était réellement. Gallieni, le vainqueur de la Marne, dans ses mémoires sur cette bataille mentionne les ordres imbéciles, irréels, reçus de l'État-Major. Pour se procurer les troupes nécessaires au coup de butoir qu'il veut donner sur le flanc de l'armée allemande de Von Kluck il est obligé de les demander au Ministre de la Guerre. C'est contre les ordres de Joffre qu'il qualifie d'irréels, qu'il prépare l'offensive qui aboutira à la victoire de la Marne qui n'est pas celle de Joffre comme un crétin qui se prétend historien l'a encore écrit ces jours dans une revue "commémorative". Dans les Carnets d'Abel Ferry, Joffre apparaît également tel qu'il était : incompétent, soucieux de sa carrière et de son prestige, exerçant un commandement éloigné du terrain mais se mêlant de tout, refusant d'utiliser les réserves en hommes - plus d'un million d'hommes - qui pourrissent dans les dépôts de l'arrière, ne sachant pas profiter de la Victoire de la Marne, qui, encore une fois, n'est pas la sienne, faisant des dossiers sur les hommes, demandant des ressources pour empêcher les autres d'en disposer. L'effarant, c'est que l'on ne tirera aucun enseignement de ce commandement débile et déliquescent, en 1940, ce sera un des sous-ordre, influent, de Joffre qui se verra à la tête de nos armées. Il commandera comme Joffre, réfugié dans son État-major et sera le nouveau Bazaine que Joffre n'a pas été grâce aux Lanrezac et Gallieni au prix de 300 000 morts.

 

Wikipedia : un tissu de conneries ! L'article Joffre sur cette encyclopédie hautement fantaisiste est d'une rare sottise, sous un titre surréaliste : "Le généralissime prépare un piège à l'ennemi" il donne à Joffre le bon rôle dans la bataille de la Marne, là où il n'a été qu'un trouble fête, un empêcheur d'exploiter une victoire. La Marne, Joffre ne l'avait ni prévue, ni vue. L'auteur ou les auteurs anonymes de cet article n'ont même pas lu Gallieni, ils se sont vraisemblablement cantonnés a quelque recueil d'inepties à la gloire du pantin galonné que fut Joffre. De même on présente sous une forme impersonnelle, comme si "on" était une sorte de hasard suprême responsable des manquements, les situations dues à cet abruti comme le manque d'artillerie lourde !

 

 

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3-1-2005 mis à jour 9-1-2005